Le pari de Périphérie était celui de créer un nouveau repère imprimé exaltant qui célèbre l’éclectisme de la création — il a fièrement été remporté par Florence La Rochelle, rédactrice en chef du magazine, qui est parvenue à produire une première édition d’un magazine mettant en lumière les marges des mondes créatifs, et ce, de façon entièrement indépendante.
J’ai personnellement été impliqué dans le projet, d’abord en transformant l’idée de base, intangible, en une identité visuelle complète et durable, puis, par la suite, en prenant en charge le design de la première édition. Mon rôle s’est également étendu à la traduction de l’identité de Périphérie de l’imprimé au numérique, à travers la création d’un site web vitrine, ainsi que l’habillage des réseaux sociaux et de la campagne de financement.
L’identité visuelle a été développée progressivement, au rythme auquel Périphérie s’est défini lui-même. Réfléchie, flexible et hautement personnalisée, elle est prête à affronter l’épreuve du temps. Les caractères typographiques du logotype, dessinés avec soin, se déforment en contournant adroitement la marge, exécutant l’expression visuelle littérale du mot qu’ils forment. L’icône agit comme mascotte pour Périphérie et rend l’image globale du magazine plus accessible. La couleur thème est évolutive : elle change à chaque édition, apportant un constant renouveau à la marque.
Direction artistique et design : Émile Painchaud
Design de l’icône : Maude Martel
Photo de la couverture : Charlotte Rainville
Cliente : Florence La Rochelle
Polices de caractères : ABC Social et G2 Ciao
